Ce sous-amendement vise à supprimer un alinéa qui ouvrirait la possibilité de créer des écoles de filles et des écoles de garçons. Une telle possibilité constituerait un retour en arrière important, car elle remettrait en cause la mixité scolaire qui est une réalité en France depuis les années 70 et qui a été consacrée par la loi en 1975. Je veux tirer un signal d'alarme, car ce serait ouvrir la porte aux communautaristes, aux intégristes et aux réactionnaires les plus misogynes de tous poils. Il faut donc être très vigilant. Une telle disposition est très dangereuse.