À mon tour, je veux déplorer les conditions dans lesquelles nous examinons ce texte. Je rassure d'emblée M. Ollier, le président de la commission des affaires économiques qu'il ne s'agit pas de mettre en cause, bien au contraire. Les conditions de travail des personnels de la commission sont sans doute déplorables. On ne les voit que lors des réunions de la commission, mais j'imagine le travail qu'ils font lorsque je constate que les documents ne sont mis en ligne que quelques jours avant le début de la discussion.