…et des souffrances liées à la crise actuelle dans ce secteur. Sa vision politique n'est toutefois pas la nôtre.
Un passage de son intervention m'a paru des plus limpides – et il s'agissait peut-être là des propositions du groupe socialiste, monsieur le ministre –, celui où notre collègue prône une hausse des exigences environnementales et sociales en France, avec l'État à la manoeuvre, ajoutant que cela aura un coût qu'il faudra payer. Mais il ne nous a pas révélé qui paiera et comment.
La vision d'une France seule, drapeau au vent, qui lave plus blanc que blanc, les agriculteurs n'en veulent pas et ils nous le crient tous les jours, cher Germinal Peiro.