Enfin, elles ont servi, monsieur Sapin, à écarter le spectre du protectionnisme, qui eût été inéluctable si l'ensemble des dirigeants du monde ne s'étaient pas retrouvés.
Le G 20 de Toronto, pour sa part, a examiné la compatibilité et la coordination de l'ensemble des politiques économiques menées par tous les pays du monde – et l'on ne trouvait pas seulement les représentants des pays développés autour de la table mais aussi ceux des pays émergents.
Nous avons pu constater, grâce aux travaux menés sous l'autorité de Dominique Strauss-Kahn (Rires sur les bancs du groupe UMP), qu'il existait une cohérence entre ces politiques économiques et celle, notamment, menée sous l'autorité du Premier ministre en matière de redressement des finances publiques et de relance de notre économie par le biais du grand emprunt. (Mêmes mouvements.)