Notre réforme prend également en compte, dans un souci de justice, les particularités des Français. Ainsi, je le répète, les Français qui ont commencé à travailler à quatorze, quinze, seize ou dix-sept ans pourront partir plus tôt, à l'âge de soixante ans ou avant. Cela va dans le droit fil de ce qu'avait fait François Fillon, avec l'aide de la majorité de l'époque, en créant les dispositifs de carrières longues, contre lesquels le parti socialiste a toujours voté.
Enfin, les dispositifs concernant la pénibilité sont des éléments clés et forts de notre réforme. Nous tiendrons compte de ceux qui ont rencontré des difficultés dans leur travail. Eux aussi pourront partir à soixante ans. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)