Le nombre de logiciels supprimés sera celui qui a été annoncé dans le rapport de l'inspection générale des finances de 2006, soit 80 applications informatiques. Le coût d'interfaçage s'élève à 55 millions d'euros. Certaines applications techniques n'ont pas vocation à être interfacées.
Quant au 1,1 milliard d'euros, il s'agit toujours du coût global initial du projet sur dix ans. La somme englobe des coûts de fonctionnement récurrents inférieurs de 30 % aux évaluations faites par l'inspection générale des finances.
Pour le reste, j'ai détaillé les plans d'action destinés à résorber les indiscutables retards de paiement.