Sur le terrain, nous constatons un problème de management.
Le gouvernement canadien ne s'y est pas pris de la même façon.
En outre, certains paiements ne se font pas parce qu'on ne dispose pas du bon formulaire. La situation est inconfortable, non seulement pour le personnel qui n'arrive pas à se faire rembourser ses frais de déplacement, mais aussi pour les entreprises. Je ne suis pas sûr que l'on arrive à rattraper le retard très vite compte tenu du calendrier de déploiement de Chorus. Sans un travail important de management, on ira droit dans le mur. Mais cela a un coût.
Vous nous dites que l'on reste dans l'enveloppe. On nous avait dit la même chose pour Copernic. L'enveloppe reste constante, certes, mais on bascule telle dépense dans la maintenance, ou bien on renonce à certaines applications, mais il y a toujours un coût. Selon l'article paru dans un journal du soir daté du 16 juin, Chorus coûtera 1,1 milliard d'euros, soit le double des 500 millions d'euros annoncés. Il nous faut des explications.
En outre, même si l'outil fonctionne, la perception des personnels est différente. Il a fallu parfois refaire des tableaux Excel et prévoir une facturation à côté. Il y a forcément quelque chose qui cloche quelque part ! Nous demandons seulement comment les problèmes seront résolus.