Cette réponse n'est pas tout à fait satisfaisante, monsieur le secrétaire d'État. Les patrons pêcheurs n'attendent qu'une chose : pouvoir acheter les 20 ou 40 % de parts de la coopérative. Or, aujourd'hui, cela semble impossible. La négociation est au point mort, il n'y a eu aucune réunion entre le liquidateur et les copropriétaires. Il faudrait que le dossier avance car l'exploitation se poursuit. J'attends du ministre de l'agriculture qu'il veuille bien organiser une table ronde réunissant tous les acteurs concernés afin que l'on puisse y voir plus clair dans quelques semaines.