Nos choix découlent de consultations avec des députés et des travaux du Sénat. La contractualisation va entraîner un changement radical, que j'assume, pour l'agriculture française, mais il est utile de conserver un minimum de souplesse, pour les marchands de bestiaux, par exemple. Cela dit, la faculté d'intervenir laissée soit à l'interprofession, soit à l'État par le biais d'un décret, offre une garantie supplémentaire.