J'ai bien compris, mon cher collègue, et ce mouvement doit évidemment être encouragé. Mais les personnes ayant fait de longues études en France – notamment les professionnels de santé, puisque c'est l'exemple que vous avez mis en avant –, validées par un diplôme de médecin, de chirurgien-dentiste, de pharmacien, d'infirmière ou de sage-femme, peuvent se dire qu'elles ne veulent pas retourner immédiatement dans le pays qui les a vues naître. Eh bien, la meilleure solution pour éviter ce type de travers – si vous tenez absolument à considérer que c'en est un –, c'est de faire en sorte qu'il n'y ait plus de bourses d'études en France.