Je visite très régulièrement des entreprises dans ma circonscription et m'entretiens fréquemment avec des chefs d'entreprise et des artisans. Tous me disent avoir les plus grandes difficultés à pourvoir des offres d'emplois de techniciens. Comment faire en sorte que les jeunes ne soient pas systématiquement orientés vers un baccalauréat mais vers une formation professionnelle ou un apprentissage ? Il faudrait réussir à donner une image plus positive de ces formations qualifiantes, trop souvent associées à l'échec scolaire.