Comment, en effet, venant d'un pays n'adhérant pas à ces engagements, pourrait-elle être le meilleur défenseur de ces coopérations ou de ces valeurs essentielles ? La parité est le troisième critère que je propose : au moins l'un des trois postes – président du Conseil européen, Haut représentant pour les affaires étrangères ou président de la Commission – devrait être attribué à une femme. (« Très bien ! » sur quelques bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)