Car, à un problème dont les causes sont multiples, vous opposez une solution unique : la répression !
Vous désignez des coupables : les « mauvais parents », qu'il faut sanctionner en les privant des allocations familiales dont ils profiteraient indûment !
Mais en vous refusant à toute analyse des causes du problème, vous vous condamnez déjà à échouer.