J'ajoute que le traité comporte trois éléments qui ne se trouvaient pas dans celui de 2004 et qui sont positifs : la lutte contre le changement climatique est élevée au rang de priorité de l'action de l'Union ; la politique de l'énergie devient une compétence partagée entre l'Union et les États membres ; enfin, un protocole est consacré aux services publics à caractère économique dont l'utilité et la spécificité se voient juridiquement établies.
J'ai dit, mes chers collègues, tout le bien que je pensais de ce traité que je m'efforce d'analyser devant vous de la façon la plus claire et la plus honnête possible.