…entre les commerces de périphérie, la grande distribution qui possède des millions de mètres carrés, et les centres villes qui se sont appauvris, avec tout ce que cela a entraîné en termes de déplacements, de pollution, de perte de cohésion et de cohérence au niveau de l'aménagement. J'espère bien que nous pourrons revenir sur les désastres que nous avons constatés ces dernières années. Il n'est donc pas question que nous nous taisions par rapport à ce qui s'est passé.
Le secrétaire d'État a fait allusion aux malheureuses circulaires d'août 2008 et aux débordements qui ont suivi : j'aurais souhaité savoir combien de mètres carrés cela a concerné.
Je me rappelle avoir été choquée de la façon dont le législateur produit des textes de loi, lorsque, tard dans la nuit – à quatre heures et demie ou cinq heures du matin –, il fut question de faire passer l'autorisation de 300 mètres carrés à 1 000 mètres carrés.