Je suis convaincu de la nécessité de parler d'une voix, celle-ci est évidente quand on se penche sur les discussions au sein du G20 par exemple. Mais je m'interroge. Crée-t-on les conditions de l'émergence d'un service diplomatique européen ?
Je m'interroge aussi sur les redéploiements : s'il n'y a pas création de postes, cela signifiera-t-il que l'on va prélever le complément des personnels actuels pour atteindre le chiffre de 8000 en partie sur le contingent des diplomates français ?