Catherine Vautrin a ouvert l'important débat des centralités : centre-ville, centre-bourg. De notre point de vue, la notion de « centralité urbaine » est plus intéressante et moins restrictive.
Nous souhaitons qu'un SCOT puisse, sur un territoire, caractériser des zones d'une certaine densité, mesurable par des dessertes en transport, une diversité des fonctions et des pôles structurants. Les zones de centralité me semblent davantage correspondre au vocabulaire de l'actuel droit de l'urbanisme.
Les notions de centre-ville et de centre de quartier me semblent plus limitées. Un centre-ville, nous voyons à peu près tous ce dont il s'agit ; un centre de quartier, c'est plus compliqué. Dans les très grandes agglomérations, notamment, il peut y avoir plusieurs centres. Monsieur Bloche, quel est le centre-ville de Paris ?