J'en suis heureux, monsieur le président, et je m'en doutais.
Le troisième risque est déjà une réalité que nous vivons tous dans nos périphéries : nous avons abîmé nos entrées de ville en les déstructurant, un certain nombre de nos collègues l'ont excellemment rappelé, notamment le maire de Caen. Il est temps de recoudre et d'embellir. Il faut pour cela, et cette proposition de loi va dans ce sens, que nous trouvions des outils capables de fixer les règles qui permettront d'avoir des aménagements qualitatifs et non plus ces boîtes à sardines que nous avons vues malheureusement fleurir un peu partout dans notre beau pays.
Je soutiendrai avec grand plaisir ce texte de loi qui va nous aider à résoudre les problèmes très concrets auxquels nous sommes confrontés au quotidien. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)