Son principal mérite est en effet de répondre à l'injonction, fondée, de l'Union européenne concernant l'ouverture de notre marché de l'électricité à la concurrence.
Encore une fois, l'Europe a raison, et ce à un double titre.
Tout d'abord, la France est aujourd'hui le seul pays de l'Union européenne où l'opérateur historique du secteur de l'électricité n'a pas été contraint de vendre une part significative de ses moyens de production. Aujourd'hui encore, la totalité de nos cinquante-huit tranches de nucléaire sont propriété exclusive d'EDF.