Au moment de la loi Fillon, les tensions étaient très fortes. Cette loi était donc nécessaire. Mais, comme pour tout, il faut savoir approuver la modernisation, puis en corriger rapidement les effets pervers.
Depuis 2003, la CNAV-PL a beaucoup évolué. Le dialogue en son sein s'est amélioré et simplifié. Les « mécaniciens » des retraites se sont ouverts aux vrais besoins des cotisants. Les anciens considéraient qu'un professionnel libéral était forcément riche et qu'il avait un patrimoine important.