Monsieur Louis Giscard d'Estaing, vous n'êtes pas de la tradition révolutionnaire ; je comprends donc qu'il y ait un quiproquo, mais les braises peuvent servir à allumer un incendie, par exemple celui de la Révolution qui, comme en 1789, permit d'ouvrir des voies que l'humanité entière continue de nous envier.
L'année 1917 fut celle d'une révolution qui libéra le peuple russe du knout tsariste. Il en va de 1917 comme de 1789 : il y eut des zones d'ombre comme des zones de lumière, mais vous ne pouvez pas le comprendre car il faudrait pour cela que vous soyez quelque peu dialecticiens.