Effectivement, nous prônons l'épargne collective, car cet outil permet d'avoir un effet de levier important tout en garantissant des coûts de gestion moindres. Sur la taxation des revenus du capital, je suis certain que les partenaires sociaux auront un avis précis sur la question. Cependant, c'est un choix qui relève de la représentation nationale. Je me borne à rappeler que nous parlons ici de l'épargne des salariés, qui financent d'ores et déjà la majorité des dépenses de sécurité sociale par leur salaire. Faut-il vraiment aller plus loin ?