Vu l'heure tardive, je n'ai pas voulu insister sur la défense des amendements de Charles de Courson, mais l'unanimité qui se dégage me trouble. Dans la situation économique et sociale qui est la nôtre aujourd'hui, l'extension du régime spécial des IEG est-elle vraiment une priorité de la nation ? Nous sommes très réservés. Le minimum est de suivre ce que vient de dire le ministre : il faut qu'une négociation sérieuse se tienne sur les conséquences d'une telle mesure. Ce n'est pas le moment d'étendre les régimes spéciaux, alors que nous allons engager une réforme des retraites.