Je tiens à signaler à M. Brottes, avec toute la courtoisie possible, qu'il faudra que la Conférence des présidents évoque à l'avenir la question des temps de parole. Par respect pour les autres collègues qui doivent s'exprimer, il vaudrait mieux, même avec le temps programmé, ne pas annoncer une intervention de cinq minutes pour parler treize minutes ; ce n'est pas la peine d'annoncer des temps de parole si on les dépasse ainsi.
Tout le monde – sauf peut-être M. Daniel Paul – a plus ou moins débordé de deux ou trois minutes. Nous n'allons pas nous transformer en classe ou en cour de récréation, mais entre cinq minutes et treize minutes, la différence n'est pas vraiment minime.
La parole est à M. François Brottes.