La réponse à votre question, monsieur Gonnot, se trouve dans l'échange de courriers entre le Premier ministre et la Commission : celle-ci accepte que l'accès régulé à la base, maintenant l'accès régulé à l'énergie nucléaire historique, soit réservé aux clients français. C'est clair, net, précis ! J'aurais naturellement pu l'évoquer pour répondre à M. Paul.
Quant au tiers dont nous parlons depuis tout à l'heure, monsieur Brottes, il n'a pas vocation à réguler – c'est le rôle de la CRE.