Sans l'admettre publiquement – contrairement aux gouvernements responsables de Grande-Bretagne, d'Allemagne et d'Espagne –, vous mettez en place une politique de rigueur. Il ne s'agit pas uniquement, comme vous le laissez entendre, de donner un coup de rabot, il s'agit bel et bien de frapper les salariés d'un coup de massue. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Dès le 3 mai, on nous a annoncé que la taxation des titres restaurant et des chèques vacances figurait parmi vos pistes de réflexion.