Vous me demandez en somme, monsieur le député, comment concilier ce qui est apparemment contradictoire : la politique de relance et celle, évidemment nécessaire, de maîtrise des dépenses publiques. Je crois cette conciliation possible sans grande difficulté, et ce pour trois raisons essentielles.
La première est que, ces deux politiques étant complémentaires, le Gouvernement n'a pas à en changer ; il les a d'ailleurs toujours conduites de façon complémentaire depuis 2007.