Aujourd'hui, ce sont précisément les problèmes liés à cette injustice que nous avons à régler, comme le Président de la République s'y est engagé.
Nous avons donc repris les discussions avec les organisations de mineurs afin de corriger l'injustice que, je le répète, vous avez créée en 2001. À la suite de ces échanges, le Gouvernement a fait des propositions concrètes, qu'il serait un peu long de détailler – mais je suis prêt à le faire lorsque nous aurons plus de temps. Elles représentent un effort financier important, et répondent au sentiment légitime d'injustice que ressentent aujourd'hui les mineurs.