J'ai bien compris qu'en 2012, la situation allait évoluer dans le bon sens avec la modification du calcul de la péréquation. Enfin, on aura le courage politique de faire payer les villes riches !
Il reste qu'aujourd'hui, la situation est paradoxale : la ville de Paris contribue moins au FSRIF, alors que Villiers-sur-Marne a dû prendre totalement en charge 1 250 familles en difficulté venant de Paris ! Paris nous envoie donc un peu plus de monde en nous donnant un peu moins d'argent.
Les choses doivent vraiment changer. Il faut avoir le courage politique d'affirmer que c'est aux villes riches de payer pour les villes pauvres – solution qui a l'avantage d'être neutre pour le budget de la nation.