Il est clair que cette nouvelle formule ne changera rien pour les surfaces de vente inférieures à 1 000 m2.
Je partage les propos de M. Grouard, à l'exception de sa conclusion sur la nécessité de l'intercommunalité.
Quant à la typologie, pourquoi ne pas s'en tenir à la distinction en vigueur, qui classe les commerces en trois secteurs d'activité, l'alimentaire, l'équipement de la personne et l'équipement de la maison ?