Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, l'article 35 est particulièrement important eu égard à son légitime objectif de clarification des compétences.
Tout d'abord, un constat : nous sommes tous d'accord pour dire que la situation actuelle n'est assurément pas satisfaisante et qu'il apparaît nécessaire de modifier les choses. Après trois décennies de décentralisation, force est de constater que nous sommes face à une situation très complexe, qui ne correspond pas à l'attente de nos concitoyens et encore moins à celle des élus.