Rolande Ruellan, présidente de la sixième chambre de la Cour des comptes :
Nous n'avons travaillé que sur l'organisation. En 2002, nous avions conclu que les économies viendraient en priorité d'une réorganisation interne, plutôt que des fusions. L'une n'empêche pas les autres, mais celles-ci ont leurs limites.