Le propos de M. Bernard Roman me permet de raccourcir le mien. Je partage totalement son point de vue sur ce que devrait être le bon équilibre du nombre de régions et son interrogation sur la consultation des conseils généraux dans ce type de processus, qui risque d'avoir une application fort limitée, il faut bien le reconnaître
Dès lors que les conseils généraux sont consultés – c'est dans le texte et cela risque malheureusement d'y rester jusqu'au bout –, je m'étonne que l'on n'interroge pas également les métropoles.
Il est évident que si les métropoles dont nous venons de parler ont un périmètre de rayonnement plus important, elles peuvent être motrices dans le processus de mise en oeuvre du regroupement des régions.
Comme Bernard Roman, je ne vois pas pourquoi les conseils généraux sont consultés. Mais tant qu'à faire, demandons également que les métropoles, qui peuvent être directement intéressées, puissent l'être également et jouer un rôle moteur.