Je souhaite d'abord m'associer aux propos de notre collègue et ami Jean Lassalle. Quand on connaît son attachement aux communes rurales, aux communes de montagne – nous avons d'ailleurs tous les deux lancé une action nationale sur les campagnes de France visant à en faire une « grande cause nationale » –, je suis vraiment choqué, alors que nous n'en sommes qu'à l'article 10 d'un texte qui en compte quarante, que Jean Lassalle ne puisse plus s'exprimer, non plus que les autres non-inscrits.