Nous avons ainsi désormais, d'un côté, des députés spectateurs et, de l'autre, des députés qui peuvent s'exprimer. Je me rends compte que nous sommes confrontés à un problème de fond, un problème que je n'avais pas imaginé.
Je profite de la seule occasion dont je dispose pour réaffirmer mon attachement à l'intégrité des communes de France. J'espère qu'elles ne disparaîtront pas. Je rappellerai à M. le ministre Mercier que nous avons eu, avec Daniel Poulou et Jean Grenet, l'assurance de la part du Gouvernement de pouvoir créer un syndicat mixte pour le Pays Basque – puisque les pays n'existent plus –, de façon à continuer l'action très originale et remarquablement conduite au Pays Basque depuis une quinzaine d'années. Je souhaite donc en avoir confirmation.
Si jamais vous trouvez dans le règlement, monsieur le président, une disposition selon laquelle un député égale un député, je solliciterai de nouveau la parole. Je salue en tout cas votre savoir-faire à la présidence.