Cela n'a d'ailleurs pas été accepté par l'opinion mondiale. Le Premier ministre israélien, M. Benyamin Nétanyahou, a dû annuler sa visite à Washington. Les Turcs, meilleurs alliés d'Israël, ont dû manifester leur colère.
Désormais, les lumières sont à nouveau braquées sur la situation inacceptable de Gaza, et sur le futur de l'État palestinien toujours proclamé, jamais réalisé.
Je veux aussi évoquer le processus d'Union pour la Méditerranée, voulu par le Président Sarkozy. La conférence de Barcelone a dû être annulée ; on sait pour quelles raisons !
Ce nouvel événement doit donc être condamné par la France. Une commission d'enquête impartiale et, bien sûr, non israélienne doit être demandée avec force à l'Union européenne ou aux Nations unies.
Quelle sera l'attitude du Gouvernement ? (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)