Monsieur Derosier, le pire n'est jamais sûr, mais on ne sait jamais où on finira ; n'insultons donc pas l'avenir. (Sourires.) En tout cas, ce n'est pas parce qu'une erreur a été commise qu'on ne doit pas la reconnaître, et je suis heureux de l'étape que votre commission des lois nous propose de franchir.