Il me semble que, avec quinze élus, nous atteignons un seuil de gouvernance tout à fait convenable. Tout le monde peut s'accorder autour de ce chiffre qui, au demeurant, avait fait l'objet d'un consensus parmi l'ensemble des élus de la montagne, toutes tendances politiques confondues. N'ayons pas la mémoire courte.
En revanche, je m'étonne que M. Jean-Louis Bianco ait pu se plaindre de l'augmentation de la représentation de son département au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur.