Ce n'est pas tant le prix qui pose un problème car un LIDAR bathymétrique aéroporté doit coûter dans les 3 millions d'euros. Mais un achat de ce genre n'est jamais très rapide : d'une part, il faut lancer des marchés – car le SHOM passe par des sous-traitances –, d'autre part, le nombre de ces instruments est faible et ils sont difficiles à déplacer parce que sous embargos spéciaux du gouvernement américain.
Pour accélérer le programme, il faudrait que la France se dote de moyens autonomes dans ce domaine.