Les données Litto3D utilisées dans des modèles d'université, comme le projet MISEEVA qui réunit les universités de Bordeaux et de Montpellier, avec l'appui du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), permettent de réaliser des modélisations dynamiques où apparaît un front d'onde, avec des vagues déterminées en fonction de modèles météo et des vitesses de vent. Cela permet de voir les zones inondées et les zones d'habitation touchées par la mer.