Les métiers de l'agriculture, comme ceux de l'artisanat et du commerce, exigent déjà une forte capitalisation. Doit-on, dès lors, traiter les professions indépendantes comme les salariés ? Lorsqu'il a fallu augmenter les cotisations, on nous a objecté que ces professions se constituaient une épargne complémentaire beaucoup plus forte qu'ailleurs. Or, vous estimez maintenant que tout le monde doit être traité de la même manière. N'y a-t-il pas un petit problème philosophique ?