Je leur demande de montrer beaucoup plus de réserve : il est inacceptable que l'on se moque des orateurs, que l'on se permette de sourire comme tout à l'heure, parce que le mot « cavalier » revenait souvent dans la bouche d'une de mes collègues.
Monsieur le président, je demande que tout le monde dans cette assemblée montre du respect aux parlementaires, même lorsque l'on ne partage pas leurs valeurs ou leurs idées. (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR et sur quelques bancs du groupe UMP.)