La seconde critique qu'encourt selon moi cette proposition de loi est que le seul critère retenu pour la réduction du financement public d'un parti politique est celui de la parité des candidats. Alors que cette proposition instaure les conséquences financières brutales que je viens d'évoquer, elle ne tient pas compte du nombre d'élus de sexe féminin appartenant à un parti, ce qui signifie que n'est pas pris en considération le nombre de circonscriptions gagnables…