Permettez-moi une remarque de méthode. S'il me paraîtrait opportun d'effectuer des comparaisons, mutatis mutandis, avec des services de secours étrangers, la MEC se refuse en revanche absolument à entrer dans une logique de comparaison entre les différents services publics français, chacun d'entre eux étant alors inévitablement amené à faire valoir que, compte tenu de ses moyens et de ses missions, il ne se débrouille pas plus mal qu'un autre. La question essentielle, en l'occurrence, est de savoir si les dépenses engagées pour les SDIS pourraient être moindres, ou non.