J'étais très critique au début sur la labellisation par les pôles, sachant que, de toute façon, ce sont les financeurs comme l'ANR ou le FUI qui sélectionnent in fine les projets. Les labels me semblaient accordés trop vite et j'avais l'impression d'un certain laxisme, d'un manque de rigueur scientifique. En réalité, 30 % à 40 % des projets sont rejetés, ce qui est un ratio convenable. Mon opinion a donc évolué.