Les grandes entreprises européennes, comme Sanofi-Aventis, Servier, Ipsen ou Pierre Fabre, font partie de l'IMI ainsi que des principaux pôles de compétitivité. Leurs motivations sont variables : parfois, c'est par obligation, parfois, parce qu'ils y trouvent un intérêt. Il serait bon de simplifier le dispositif et d'encourager l'association des pôles les plus performants. Quant à la façon dont les choses évolueront, il est difficile de le prévoir.