À notre avis, plusieurs points qui ne figurent pas dans votre questionnaire concourent aussi à la dérive des coûts et auraient mérité d'y être soulevés. Nous pensons à une politique immobilière que nous jugeons un peu débridée, à l'absence de mutualisation – voire de cahiers des charges-types – pour l'achat des matériels, enfin aux conditions dans lesquels les prix de ceux-ci augmentent chaque année : un fourgon pompe-tonne vendu 120 000 euros en 2001 en coûte désormais 180 000. Nous vous remettrons un document écrit récapitulant nos positions sur l'ensemble des questions posées.