Les priorités varient selon les spécialités. Globalement, il faut veiller à l'actualisation des connaissances en matière de diagnostic et de thérapeutiques, qu'il s'agisse d'inciter à renoncer à certaines techniques de prise en charge qui n'ont pas véritablement prouvé un bénéfice pour le patient ou qui ont été à l'origine d'effets indésirables, ou de mettre en place de nouvelles activités et de nouveaux modes de prise en charge.
Bien évidemment, les priorités concernent aussi le médicament.