Nous avons toujours salué la réelle compétence en la matière de MM. Brottes, Gaubert et Le Déaut, mais ce n'est pas parce qu'ils posent de vraies questions que nous devons aujourd'hui les traiter. Dans un article de ce matin, Le Figaro se demande qui a réellement autorité sur le Conseil de la concurrence à propos d'une décision sur l'industrie des jouets. Nous sommes tous parfaitement conscients que, si nous voulons corriger certaines pratiques, il faudra mener une réflexion d'ensemble, notamment sur la négociabilité des prix.