Même si, au final, quand vous recevez dans vos permanences, comme nous tous, des personnes qui éprouvent les pires difficultés, vous regrettez, j'en suis persuadé, que de tels crédits puissent être possibles et qu'on en arrive à de telles situations.
Le dispositif proposé par ces amendements n'est pas inspiré par une démarche coercitive envers l'ensemble des consommateurs, il s'agit tout simplement de tenir compte de ceux qui vivent dans la plus grande précarité, qui sont cassés par la vie et qui, quelquefois, parce qu'ils souffrent beaucoup, ont besoin d'un accompagnement particulier.